Choux de Bruxelles au parmesan
Plus une astuce de cuisson qu’une recette élaborée
La recette préférée du Welshman qui, comme tous les Britishs, adore les choux de Bruxelles.
Mais non, je ne les fais pas bouillir dans de l’eau, ni cuire à la vapeur. Je les prépare dans un bouillon de volaille. Quand le bouillon est totalement évaporé, les choux ont un goût délicieux et ils fondent dans la bouche. Évidemment cette recette est excellente avec un « bouillon maison » de pot au feu ou de volaille. Mais je n’en ai pas toujours sous la main donc c’est : plaquette de bouillon. Mais il faut être très attentif à ne pas en mettre beaucoup sinon les choux peuvent être trop salés après la réduction. Une demi-plaquette pour 2 est amplement suffisante.
Et c’est sans matière grasse… Donc régime… On peut en dévorer à satiété !
Pour 2 personnes
- 500 g de choux de Bruxelles frais ou 400 g de choux de Bruxelles surgelés
- ½ plaquette de bouillon de volailles dégraissé
- 1 pincée de noix de muscade râpée
- 2 cuil. à soupe de parmesan râpé
- Poivre du moulin
Préparation : 10 min pour des choux frais
Préparation : 2 min pour des choux surgelés
Cuisson : 40 min
- Ôter les feuilles flétries des choux, couper la partie du pied qui dépasse et rincer les choux sous l’eau courante.
- Déposer les choux dans une grande cocotte, en une seule couche, ils ne doivent pas se chevaucher. Les recouvrir d’eau juste à fleur, émietter la demi-plaquette de bouillon de volaille et parsemer de noix de muscade râpée. Couvrir la cocotte et amener à ébullition. Découvrir, remuer le bouillon et laisser à découvert à petit frémissement jusqu'à évaporation totale du bouillon.
- Dès que les choux commencent à caraméliser les sortir de la cocotte et servir aussitôt.
- Parsemer chaque assiette d’un tour de moulin à poivre et d’une cuillère à soupe de parmesan. Déguster.
C’est un accompagnement parfait pour un rôti de porc ou une tranche de jambon.
Genèse de la recette
Mon ami Michel, encore lui, a dégusté ces choux, cuits dans un « bouillon maison », bien entendu, chez Michel Oliver. Quant au parmesan et à la noix de muscade râpée, c’est le petit plus italien, conseillé dans le livre de base de la cuisine italienne : La Cuillère d’argent
© Véronique Cardineau 2008, tous droits réservés.